comment ça et puis après plus rien Nat?
Si tu parles de mon expérience, il me reste les souvenirs, mais aussi une conviction intime basée sur mon expérience de l’existence. Ce n’est pas rien même si je ne peux pas le démontrer ni en apporter de preuves…
Pour tenter de répondre à ta question , je te dirai que tout revient à la source qui a créé le tout. Le soucis n’est pas tant de savoir si tel est le cas mais bien de quelle source nous parlons. De même que le soucis n’est de savoir si nous croyons [b]en[/b] une divinité mais ce que nous croyons [b]à propos [/b]de cette divinité… Toutes ces choses décrites dans les religions sont, à mon sens, des asservissements s’ils sont compris au premier degré. Il ne faut pas oublier que les textes dit sacrés ne sont pas des histoires mais des manuels. Etant réservés et transmis à une élite (cultivée) ayant la connaissance, ils étaient donc transcris de façon a ce qu’une personne non initiées pouvait comprendre quelque chose néanmoins. Ainsi de nos jours nous lit on ces textes comme s’il s’agissait de vérités historiques alors que ce n’est pas le cas. La sagesse contenue (car il y en a une) n’est pas de même nature, elle est de la connaissance.
Imagines que tu décides d’écrire une recette de cuisine mais au lieu de le faire de façon traditionnelle, tu décides de raconter une histoire dans laquelle chacun de personnages incarnera un ingrédient et que la trame de ton histoire représentera les étapes de la recette. Voilà ce que je signifie exactement. Alors de dire qu’il faut faire ceci, ou cela, penser ceci ou cela… c’est du second degré.