Lorsque tu pleures, les Anges se penchent sur toi.
Laisse les t’aider.. Apaise-toi.
Tu verras le merveilleux que tu fais déjà et que tu feras, pour tous et pour l’univers, enfant indigo’
Il y a des éons et des éons de cela, un univers et tous les êtres qui le constituait avait atteint leur perfection totale’
Ils savaient tous à quel point ils étaient parfaits et liés ensemble dans la perfection.
Chacun avait atteint sa divine maturité et tous les problèmes de cet univers étaient résolus : il n’y avait plus aucun problème, tout était harmonie et par conséquence, la partie du jeu était terminée étant donné que le but fût atteint.
Les masques se sont alors baissés et le grand voile s’est dissous’le rôle de chacun était terminé, la béatitude pour tous ; autrement dit, l’univers même ne possédait plus de raison d’exister, à quoi bon ?
Il n’y a plus rien à accomplir, plus rien à savoir, plus rien à connaître car tout est compris, tout est su !
Quand surgit cet instant infini de perfection, il y a encore un choix à effectuer même si l’on pourrait croire qu’il n’y en ait plus aucun’
En tant qu’âme, on peut choisir de se fondre totalement dans cette source d’amour qui inonde le grand tout, de ne former plus qu’ UN avec Dieu.
Ou bien, l’âme peut choisir de partir vers d’autres horizons, d’entreprendre en quelque sorte un grand voyage pour aller à l’encontre d’autres univers afin d’aimer, de découvrir’
Une partie des âmes ayant peuplé cet univers fit ce second choix et c’est dans un ultime adieu que chacun se sépara suivant le choix qu’il avait effectué.
Après avoir versé quelques larmes d’amour (non, ce ne sont point des larmes de joie, ni de tristesse), les âmes ayant choisi la deuxième solution partirent comme convenu dans un autre univers et ils emportèrent avec eux un rêve : l’Amour.
C’est un rêve sacré car tous les êtres du cosmos ne connaissait pas l’Amour, le véritable.
Ils arrivèrent alors dans un autre univers, un univers semblable à le leur : des étoiles ornant le ciel et une variété infinie de personnes et de formes de vie peuplant cet univers.
La seule différence fut que dans cet univers-là, les êtres ne connaissaient pas l’Amour.
Les âmes ayant quitté leur univers si parfait, décidèrent alors d’apporter à ces êtres le savoir et l’Amour en ce lieu que ces âmes ne connaissaient pas’pas encore’
Pour ceci, ils élaborèrent un plan : ils choisirent tout d’abord une étoile parmi les étoiles, un soleil banal parmi tant d’autres et autour de cet astre de luminosité blanche et jaune, il y avait dix planètes.
Les deux premières planètes à partir du soleil, n’étaient pas appropriées à leur plan ; ils prirent donc la troisième planète, la considérant parfaite.
Il y avait deux lunes qui tournaient autour d’elle’
Leur plan était très simple en soi, dans leur infinie sagesse, ils avaient décidé qu’afin d’apporter l’amour à tous les êtres peuplant cet univers, il fallait créer une race spéciale qui évoluerait à partir de ce de monde choisi pour apprendre l’amour et afin qu’un jour, cette race, pût l’enseigner au reste des peuples résidant dans une des parties de l’univers ; faire en quelque sorte de ce monde, un centre d’amour universel, un monde où s’écoulerait la source de la vie.
Le plan était laborieux, certes, mais complexe tout de même.
Mais les dieux (appelons désormais ces êtres venus d’un autre univers : les dieux, car tel est ce qu’ils sont en ayant souhaité créé eux-mêmes des êtres plein de vie) étaient sages et savaient géré et utilisé à bon escient leur sagesse.
Ils créèrent avec leur science intime et leur infini amour les êtres de leur plan et aussitôt leur donna le troisième monde en asile.
Ce sera désormais leur maison et très rapidement, les nouveaux habitants se firent remarqué du reste de l’univers, car ces derniers connaissaient l’amour et de partout l’on venait sur cette troisième planète pour y apprendre cette vérité.
Ce fut alors comme si soudainement, l’univers se figea sur cette chose si brillante et inconnue et comme tout papillon attiré par la lumière : des milliers d’êtres venant d’endroits et étant de races différentes venaient sur ce monde afin de se faire enseigner cet Amour unique que l’on connaissait qu’en ce lieu.
Ce fut une époque merveilleuse, de partage, mais’hélas, ce qui est merveilleux est souvent convoité par ceux qui ne peuvent même pas imaginer ce que représente le partage.
Voici la raison de pourquoi certains êtres déclenchèrent une terrible guerre, car ils convoitaient dans leur rêve de puissance ce qui était gratuit : ils n’avaient aucune envie de partager quoique ce soit et ils avaient vu dans le fabuleux pour créatif de l’amour, une occasion d’augmenter terriblement leur puissance de contrôle’
Et même des races qui avaient toujours été fraternelles entre elles, se formèrent pour la lutte qui se préparait.
Il y avait donc les partisans de l’amour et la race qu’ils avaient formé à cet amour et puis, d’un autre côté, il y avait ceux qui avaient décidé de s’emparer du pouvoir de l’amour.
Bien sûr, il y avait également ceux qui se déclarèrent neutres et les dieux en faisaient partie car ils estimaient qu’ils n’étaient point venus dans le but de guerroyer !
Certains de ces dieux, un petit nombre, oublièrent et se corrompirent à la guerre dans leur oubli.
Partout des conflits éclatèrent, le chaos gagna, semblait-il, presque tous les systèmes solaire et des mondes autrefois rempli de vie s’étinrent’
C’est alors qu’on pût se dire désormais, à cause de l’amour, le chaos régnait presque partout’tout ceci faisait partie d’un processus que seul les dieux en avaient la connaissance.
Tout est amour et si, à cette époque-là, tout portait à croire que ce n’était point le cas : il ne faut pas oublier que pour connaître une chose, il faut en connaître son contraire ; il faut que le yin prenne conscience du yang puisque l’un existe pour l’autre et les deux forment une même unité.
L’amour s’apprend donc aussi par son oubli !
La bataille se trouvait maintenant dans le système où se trouvaient les créations des dieux et l’on dit que ce conflit fut titanesque, personne ne sait le temps qu’il dura, mais en revanche ce qui était sûr c’est que sur les dix planètes existantes : une fut totalement détruite, réduite en poussière et ce fut la cinquième à partir de l’astre central.
Et l’une des deux lunes tournant autour du troisième monde fut projetée sur l’un des continents et sans que le monde soit détruit, il trembla ; ses océans, sous l’effet d’un tel choc, montèrent aussi haut que le ciel se trouvait et la majorité des gens qui vivaient sur ce continent moururent englouti.
Une nouvelle ère débuta, le monde n’était plus ce qu’il était, la création des dieux agonisait et était déchue de leur gloire de par ce désastre ils oublièrent le grand rêve, ils oublièrent ce qu’ils étaient véritablement.
Les êtres obscurs, vainqueurs de cette bataille chaotique avait réduit la race de ce troisième monde en esclave, esclave de leur plus grande ignorance, car désormais sur ce monde les êtres qui y vivaient, naissaient, vivaient et puis mourraient dans l’oubli.
La peur fut alors instaurée dans le coeur de tous et la guerre, la famine était monnaie courante.
Les êtres obscurs cachés sous un masque incitèrent souvent cette race à commettre elle-même des atrocités pour la gloire du pouvoir.
L’oubli de l’amour engendra l’oubli de leur force intérieure et les forces corruptrices les gardèrent à jamais loin de cette vérité..
Parmi toutes les races des ténèbres, il y en avait une maîtresse : les dracos.
Pourquoi draco ? Et bien, ils s’avère qu’ils étaient de sang et d’apparence reptilienne ; ils étaient connu et craint de tous.
On représentait souvent ces êtres par des serpents, on façonnait divers statuettes divinisé à leur effigie et beaucoup écrivirent des récits, des contes au nom des dieux serpents.
Derrière le visage froid d’un roi, d’un chef d’armée sans coeur, d’un grand prêtre d’une des divers religions qui, au lieu d’amener les personnes proches de Dieu, les éloignaient : sous ces masques se cachaient les dracos, tout le monde était trompé par l’apparence et ce depuis des millénaires’
En oubliant eux-mêmes leur rêve, ils vécurent dans le cauchemar des autres.
Toi, petit enfant indigo, n’oublie jamais tes rêves les plus beaux, réalise-les, prends tout ton temps et ne tombe pas dans le piège de la société.
Retiens que l’apparence est souvent trompeuse, ne fait point comme les autres qui ne font que de rêver ce que l’on leur dit de rêver.
Quelqu’un de très célèbre et possédant un très grand coeur proféra un jour : ¨C’est parce qu’ils sont plusieurs à avoir tort, qu’ils ont raison !¨.
Toi qui possède un coeur, un rêve en toi’ne l’oublie sinon tu t’oublieras toi-même !
Cette légende qui m’a été transmise manuscrite des mains d’un très cher ami indigo dont je tairai évidemment le prénom, n’est pas tout à fait une légende.
Si à un certain moment de ta lecture, tu t’es demandé si ce monde n’était-il point la Terre’tu n’as pas eu tort.
Ce troisième monde dont il est question, est bien la Terre (Gaïa, Bleu, etc.) et la race créée par les dieux sont bien les êtres humains.
Quant à la cinquième planète détruite est ce que nous appelons de nos jours la ceinture d’astéroïde qui se situe juste entre Mars et Jupiter.
Pour l’apparence trompeuse des dracos, regarde une photographie de la Reine d’Angleterre, regarde son visage ou celui du Prince Charles’renseigne-toi alors sur sa relation fausse et sans amour qu’il a eu avec la Princesse Diana .
Rappelle-toi de ce jour où George W. Bush a déclaré la guerre au terrorisme, peu de temps après l’effondrement des deux twins et de toute cette peur mondiale que cela a généré.
Regarde ce qui se cache dans leur regard froid et hostile, ils jouent un jeu avec nous’
Nous te demandons pas de nous croire, surtout pas !
Mais réfléchi bien à tout ceci en espérant que cette histoire t’a quelque peu touchée.
Notre but était d’essayer de te faire rappeler un certain nombre de choses cachées depuis bien longtemps au fond de ton âme.
Ne me crois pas, écoute ton coeur et si celui-ci s’accorde avec cette vérité?tu peux alors me croire.
Cette histoire a été transmise de bouche à oreille et ce fut la première fois qu’elle fut écrite.
Elle en a fasciné beaucoup et ceux-ci ont senti qu’ils connaissaient tous cette histoire au fond de leur âme et des images vagues leur parurent dans l’esprit.
Je suis sûre alors que tu te demandes qui peuvent bien être ces dieux venant d’un univers si lointain’c’est nous, les dieux sont nos âmes !
Quant aux dracos, ils ne sont pas à mépriser pour ce qu’ils sont, il ne faut pas les chasser de nos coeurs’ce sont nos frères aussi, ce sont des êtres vivants qui ont autant droit à l’amour que le reste du cosmos .
Eux, plus que quiconque, ont besoin d’amour, d’être aimé et s’ils sont pour la plupart si négatifs, si corrompus c’est parce qu’eux-même croient ceci normal.
Il faut les aider, les aimer’
Nous sommes tous une même grande famille et l’amour nous unis tous ici et ailleurs et pour l’éternité.
L’amour et ses plus hauts sentiments divins sont nos bannières chers indigos !
Merci être sombre, merci être de lumière.
Merci à toi, cher indigo.
Tiziana Andreani, le 25 octobre 2002 à 10h42.
Isilwenn…
