Un jour j’étais inspiré et j’ai écrit un poème que je partage avec vous :
Fruit de Vie
Nous recherchons Dieu alentours,
dans l’émotion de l’amour
loin quelquefois, si loin que nous oublions que NOUS SOMMES,
mais l’épreuve en nous résonne
que finalement il n’est pas plus loin que NOUS,
à l’intérieur de notre TOUT
alors pourquoi malmener notre enveloppe,
si précieuse à la vie qui mijote,
ce doux plat composé de nature paradisiaque,
que nous avalons sans conscience, ni acte
pour trouver le secret de la Vie,
il faut laisser tomber toute cette camisole de chimie
et l’Esprit travaille toute la nuit,
pour faire jaillir en soi cette fontaine de Vie
par la pensée cet organe malmené,
qui guérit et qui créé
nous protège et construit,
même jusque dans l’apparence de l’épreuve qui détruit,
illusion de cette vie terrestre,
qui nous conduit vers le céleste
à condition d’arriver à aimer le bas et le noir,
pour que du haut et du blanc suscite l’espoir
alors le secret ne serait il pas celui ci,
d’aimer notre corps et notre Être qui resplendit
pour ceci la seule nécessité,
est de faire preuve d’humilité
parce que les défauts sont faits pour être dépassés,
dans cette dure école d’humanité
et que finalement le secret,
celui qui nous rend VRAI
est que l’erreur de nos vies,
ne réside pas dans l’erreur de la Vie
mais dans le fait de ne pas assumer,
ce que l’on EST ou a ÉTÉ.
Quelle formidable puissance,
que d’aller du passé au présent
en quelques microsecondes, à l’instant,
et régénère notre élément
alors pourquoi être insatisfait,
de ce sort qui nous plait
que nous avons pleinement choisit,
avant d’entrer en cette Vie
finalement le miroir magique de notre intérieur,
se caractérise par notre joie extérieure
qui brille comme un soleil,
de cette puissance qui émerveille
alors ce secret n’est il pas celui ci,
de savoir simplement regarder une pierre ou une fleur aux énergies infinies
et de s’emplir de cette douce vibration,
qui n’est autre que l’amour de la création
pour nous conduire au cœur et à la compassion,
qui dépasse de loin la raison
mais pour réveiller tout ceci,
le fils ou la fille ont agit
avec le plus grand respect de la Vie,
ils ont éveillé l’anarchie
comme par enchantement, la tempête passé,
tout devient si léger
que tous sortent grandis,
de ce PLURIEL qui nous relie
et finalement ils ont tous compris,
que l’extérieur et l’intérieur étaient unis
et qu’ils venaient tous du même fruit
le fruit de la Vie