A DIEU.
Amour universel,parceque répandu à traver l’univers dont il est le composant ignoré.Etendu à travers la matière dont il est le chef d’orchestre organisé.
Dieu n’était pas un être humain comme je l’entendais d’où ma déception quand je me suis réveillé.
Comme je l’avais lu dans la bible sans l’avoir compris ; il était partout , c’est bien dans l’innondation de son amour que j’ai voyagé même si aujourd’hui je me dis que c’est irréel mais alors où ai- je été?
Enfant je lui parlais comme un être incarné je lui en ai voulu dans cette espace de foi me porter dans ses bras éthérés.
Déçue de ne pas le rencontrer comme je l’avais si bien imploré le regardant barbue et vieilli comme sur l’image il me fut présenté.
Que de temps j’ai perdu à vouloir comprendre et admettre que l’au delà était une réalité.Concrète forte porteuse de nos âmes décédées.
De lumières pour les ténèbres porteuses de foi pour notre éternité elles jouaient flammes vacillantes d’un beau rythme unifiées.Belles âmes qui jouez sur les violons de nos âmes je vous ai vus merci de me l’avoir accordé.
Au loin j’entends comme le chant d’un univers étoilé qui me donne la cadence pour me faire avancer.
Merci à vous mais je ne suis pas celle qui saura distribuer cette foi énergie rédemptrice.
Je ne ressens rien pour l’instant je ne suis que doute statufié comprenant mieux toutefois l’expression des mots sur le papier à ceux qui les ont laissés pas facile à déchiffrer.
Pardonnez si sur la gamme de la foi je suis silence enraciné mais j’ai perdu quelque chose.
Merci toi, ma mère qui venant désolée m’as lancé : tu ne crois même plus en ce que tu vois….Oui chère mère parceque si je commence à croire j’ai peur de cette force démesurée qu’est la foi.
Celle qui déclenche les miracles,celle qui sur terre deviens nourrice d’un lien difficile à gérer.Qui porte les peuples les foules d’un sentiment d’humanité qui traverse les coeurs convertits les méchants.Non mère je ne puis croire aussi facilement…
Même si toi tu es venu me voir alors que tu était censé être à leurs côtés.Que me reste t-il là pour avancer sur cette terre si je ne veux pas adhérer….et maintenant dis moi que dois je faire’
Je doute ces louanges, à quoi ça rythme dieu le père que ces âmes souffrent sur terre…ou n’est ce pas, que vous êtes trop occupé au ciel’ Où sommes nous trop espérant d’une foi qui électrifiante nous résuciterais’
Faut-il y voir que la terre est seule dans sa détresse’Je l’ai vu l’image de ta mère appelé Marie, dans le ciel bleu de cette après midi, à cet instant précis où je reprenais mon souffle étouffé par ce chagrin de perdre à nouveau cet être aimé qu’étais mon chien.
“Qu’est ce que l’on va encore me faire croire” voilà ce que j’ai hurlé…devant cette image où beaucoup ce serait agenouillé.
Pourquoi Dieu suis je comme ça pourquoi je ne crois plus en ce que je vois’Pourquoi je ne crois plus en l’amour, pourquoi je ne crois plus en moi’
Arcanes.
